Leo n’est pas rentrée et le printemps s’entête dans sa douceur. Leo ne reviendra pas. La shérif Lauren Hobler découvre son corps au milieu des iris sauvages. Autour de la mort soudaine d’une jeune fille, 'Les Âmes féroces' tisse plusieurs destinées. Pour élucider un mystère, mais lequel ? Celui de Leo, peut-être, et de ses silences. Celui de Lauren, coincée dans une petite ville qui ne la prend pas au sérieux. Il y a aussi Benjamin, Seth et les autres… Les gens de Mercy, qui pensent tous se connaître et en savent si peu sur eux-mêmes.
lundi 7 juillet 2025
LES AMES FEROCES de Marie VINGTRAS
« Ici, la nuit est belle. (…) Leo avance de tache de lumière en tache de lumière et entre les deux, elle disparaît presque entièrement. Elle est alors exactement ce qu’elle paraît être : la fille qui glisse le long des murs, calme, discrète. La fille qui s’efface, la fille qu’on oublie. »
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Enfin un roman policier qui se décale du meurtre ! Pas de scènes effroyables, de descriptions inutiles du corps, de la scène. Mais au contraire 4 personnages examinés à la loupe dans leurs ressentis, leur histoire personnelle, tous en lien avec Léo.
RépondreSupprimerUn roman passionnant et vraiment intéressant et original dans sa construction. J'ai beaucoup aimé.
Ça commence comme un polar : par un meurtre …dans un village où jamais rien ne se passe…à ce qu’on dit. Et puis ça se poursuit plutôt comme une enquête psychologique et sociologique, chacun des personnages venant livrer ses secrets pour que progressivement on découvre les âmes féroces J’ai beaucoup aimé.
RépondreSupprimerFranchement, les deux commentaires saisis précédemment sont d’une justesse infaillible ! Je n’ai rien de plus à ajouter mise à part peut être que j’ai beaucoup aimé ce polar qui ne ressemble à rien aucun autre : et ça c’est rare !
RépondreSupprimerDes âmes féroces. Voilà un beau titre.
Clairette
Un polar différent : pas de détails sanglants, mais quatre personnages liés à Léo qui se dévoilent peu à peu. C’est original, prenant, et j’ai beaucoup aimé.
RépondreSupprimer