San Francisco et sa fameuse baie, ses tramways cahotant dans les rues en pente, son pont du Golden Gate, compte désormais un monument de plus : le 28, Barbary Lane, une pension de famille tenue par la pittoresque Anna Madrigal qui materne ses locataires avec une inépuisable gentillesse. Et ils en ont tous bien besoin, car "s'il ne pleut jamais en Californie, les larmes en revanche peuvent y couler à flots". Ils le savent bien, Mary Ann, venue de Cleveland dans cette ville qui a le don de décoincer les gens, Mona qui vient de perdre son emploi, Michael qui cherche vainement l'homme de sa vie...
Grâce à cette chronique, j'ai passé 2 mois à San francisco. J'ai traversé les années 70 jusqu'à nos jours avec le bouleversement des moeurs et tous les paradoxes de la société américaine. Mme Madrigal et Michael vont me manquer. Un récit vraiment plaisant souvent très drôle. Un bon moment de détente !
RépondreSupprimerA noter que les premiers sont beaucoup plus savoureux et drôles que les derniers. Reflet de notre époque peut être??
RépondreSupprimerJe les ai tous lus, il y a qq années, mais je garde en mémoire des moments de lecture dont je me suis délectée.
RépondreSupprimerAu fil des décennies, on suit la vie de personnages très attachants,et comme Nathalie, je n'avais pas envie de les quitter.
Val
je les ai tous lus et je me suis régalée de passer quelques moments avec ces personnages hauts en couleur, dans cette ville de San Francisco que j'aimerais tant découvrir un jour .. des personnages tellement attachants, vibrants et humains que j'aimerais les rencontrer.
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