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samedi 26 août 2017

SHANTARAM de Gregory David ROBERTS

Australie, 1980. Lin s’évade de prison, et atterrit sous une fausse identité dans les rues fourmillantes de Bombay, où il espère disparaître. Il pénètre peu à peu le monde secret de la « ville dorée », où se côtoient prostituées et religieux, soldats et acteurs, mendiants et gangsters. Fugitif sans famille, Lin cherche inlassablement à donner un sens à sa vie, d’abord en improvisant un dispensaire dans un bidonville, puis à l’échec de celui-ci en faisant ses premières armes dans la mafia de Bombay. Cette quête le conduira jusqu’à la guerre, à la prison et ses tortures, et à une série de trahisons sanglantes. Puis à la rédemption, enfin. Mais les clés du destin de Lin se trouvent entre les mains de son mentor, Khader Khan, parrain de la mafia, à la fois criminel, saint et philosophe, et surtout de Karla, femme mystérieuse, belle et dangereuse dont Lin tombe follement amoureux

1 commentaire:

  1. Shantaram signifie “Homme de paix divine en Hindi”.
    A travers l’épopée de Lin, australien sans papier et sans argent évadé de prison qui se réfugie à Bombay, ce roman est une plongée romanesque dans l’Inde d’aujourd’hui : bidonvilles, dispensaires, mafia, amour, opposition tradition/occident, toutes les composantes sont réunies pour nous tenir en haleine pendant les 800 pages. L’écriture dynamique et galvanisante est facile à lire.
    Un bémol : quelques digressions philosophiques superflues alourdissent certains chapitres.
    Un roman EXTRAORDINAIRE à lire absolument
    DD

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