Dans ce contexte inédit, des mesures sont adoptées par le pouvoir, contraignantes et liberticides.
Tom se retrouve pris dans la tourmente des événements, mais il a un ami grec qui l’alerte alors : les peurs des gens sont très utiles à certains.
C’est en découvrant des vérités parfois dissimulées au grand jour, que l’on peut se réapproprier sa liberté…
L’idée de départ était plutôt bonne mais le côté moralisateur m’a fortement déplu. L’analogie entre le Covid et la voiture m’a semblé absurde. J’ai eu l’impression d’être prise pour une idiote par l’auteur.
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