Les frères Florio, Paolo et Ignazio, montent une épicerie à Palerme en 1799. Ambitieux mais rivaux en amour, ils deviennent des hommes riches et puissants.
Vincenzo, le fils de Paolo, reprend l'affaire familiale à la mort de son père et construit l'empire Florio. Le succès de Vincenzo, considéré comme un parvenu par la bonne société palermitaine, en irrite plus d'un.
Une petite saga estivale bien appréciée. Des personnages hauts en couleur dans la Sicile déchirée et mouvementée du début du XIXème siècle. 2 prénoms masculins à retenir : Vincenzo et Ignazio. Ils s'appellent tous comme ça de pères en fils. 1 prénom féminin à garder en mémoire : Giulia. J'adore ce personnage. Je plonge dans le 2ème tome avec délectation. Clairette
Je termine ce 2ème tome de la saga des Florio avec la sensation d’avoir traversé des décennies à leurs côtés en ayant la frustration de ne pas avoir pu leur dire ce que je pensais de leurs comportements. De Vincenzo en Vicenzo, d’Ignazio en Ignazio, chaque personnage balaye le précédent en essayant de prendre sa place à sa manière. Les femmes sont omniprésentes et en même temps trop invisibles. L’époque voulait ça. Je sais. Ça m’agace et en même temps c’est tellement réel. Un bon moment de lecture. Rien d’exceptionnel non plus. Clairette
Une petite saga estivale bien appréciée. Des personnages hauts en couleur dans la Sicile déchirée et mouvementée du début du XIXème siècle. 2 prénoms masculins à retenir : Vincenzo et Ignazio. Ils s'appellent tous comme ça de pères en fils. 1 prénom féminin à garder en mémoire : Giulia. J'adore ce personnage. Je plonge dans le 2ème tome avec délectation.
RépondreSupprimerClairette
Je termine ce 2ème tome de la saga des Florio avec la sensation d’avoir traversé des décennies à leurs côtés en ayant la frustration de ne pas avoir pu leur dire ce que je pensais de leurs comportements. De Vincenzo en Vicenzo, d’Ignazio en Ignazio, chaque personnage balaye le précédent en essayant de prendre sa place à sa manière. Les femmes sont omniprésentes et en même temps trop invisibles. L’époque voulait ça. Je sais. Ça m’agace et en même temps c’est tellement réel.
RépondreSupprimerUn bon moment de lecture. Rien d’exceptionnel non plus.
Clairette