LA FILLE DANS LES SERRES DE L'AIGLE de Karin SMIRNOFF
Le nord de la Suède est devenu le nouveau far-west. Des multinationales sans scrupules n'hésitent pas à venir s'y installer et détruire l'environnement pour s'enrichir toujours plus, pendant que des bandes criminelles, attirées par cet énorme nouveau flux d'argent, opèrent dans l'ombre. Mikael Blomqvist et Lisbeth Salander se retrouvent malgré eux au milieu d'une bataille sans merci, où les forces du mal sont prêtes à tout pour faire fortune.
Et où les hommes n'aiment toujours pas les femmes.
Emoustillée à l'idée de retrouver Lisbeth et Mikael et plongée dans une intrigue avec de vrais méchants ! Même si les deux personnages ont perdu de leur intensité et de leur singularité sous la plume de Karin, même si l'actualité suédoise où les questions environnementales sont AUSSI balayées par les intérêtes financiers (j'avais espoir qu'en Suède ce serait différent), j'ai passé un moment agréable... qui ne me laisse pas un souvenir impérissable.
Toujours un peu impatiente de retrouver Lisbeth en effet mais l'excitation de départ est retombée comme un soufflet. C'est simple, si Karin avait choisi d'autres prénoms que Lisbeth et Mikael, je n'aurais pas accordé beaucoup de crédit à ce récit. Ce sont mes précédentes aventures avec ces 2 personnages et mon imagination débordante qui ont fait le travail de visualisation et d'imagination. Dommage ! Bilan : je suis comme Sonia, je vais oublier. Clairette
Emoustillée à l'idée de retrouver Lisbeth et Mikael et plongée dans une intrigue avec de vrais méchants ! Même si les deux personnages ont perdu de leur intensité et de leur singularité sous la plume de Karin, même si l'actualité suédoise où les questions environnementales sont AUSSI balayées par les intérêtes financiers (j'avais espoir qu'en Suède ce serait différent), j'ai passé un moment agréable... qui ne me laisse pas un souvenir impérissable.
RépondreSupprimerToujours un peu impatiente de retrouver Lisbeth en effet mais l'excitation de départ est retombée comme un soufflet. C'est simple, si Karin avait choisi d'autres prénoms que Lisbeth et Mikael, je n'aurais pas accordé beaucoup de crédit à ce récit. Ce sont mes précédentes aventures avec ces 2 personnages et mon imagination débordante qui ont fait le travail de visualisation et d'imagination. Dommage ! Bilan : je suis comme Sonia, je vais oublier.
RépondreSupprimerClairette