Une femme aux portes de la mort.
Un homme incapable d'en finir avec la vie.
Leurs deux voix s'élèvent tour à tour pour nous confier leur histoire, leurs maux, leurs démons, et plus que tout l'amour fou. Un amour qui inspire, réunit et sauve autant qu'il a pu détruire et séparer.
Ca part bien ... l'alternance de "quelque part" et "autre part, les deux voix des 2 protagonistes. Et puis on saisit vite le passé commun à cet homme et cette femme. C'est du bon Arlequin, qui monte crescendo dans le pathos et finit en tragedie mortelle avec quand meme quelques grosses exagerations, comme les enfants qui tombent amoureux (aussi) et le petit fils qui joue du piano (comme Papi !)Mais je dois avouer que le personnage tourmenté du pianiste virtuose, desesperé, amoureux fou, alcoolique, m'a bien plu.
RépondreSupprimerC'etait mon premier Agnès ML (ça sera sans doute le seul !). Merci à ma voisine Kate.
Et aussi, Agnès ML met à la fin du livre la playlist des titres qui l'ont accompagnée , pendant l'ecriture, je suppose. J'ai deja vu un autre ecrivain faire ça mais je n'arrive pas à me souvenir qui ? Je suis entrain de l'ecouter.... bof bof....
Je vais donc sauter direct dans l'univers de Paul Auster, sacré contraste ! Vive la lecture.....