Lors dun voyage aux Philippines, Juan Diego Guerrero, écrivain américain célèbre et vieillissant, revit en rêves récurrents les épisodes de son adolescence au Mexique, à la lisière de la décharge publique de Oaxaca où lui et sa sur Lupe ont grandi.
Infirme depuis le jour où une voiture lui a écrasé le pied, Juan Diego a en outre le cur fragile; il prend régulièrement des bêtabloquants, qui le protègent des émotions, et occasionnellement du Viagra, car on ne sait jamais
Des émotions, il en aura tout au long de son périple, notamment avec Miriam et Dorothy, mère et fille aussi désirables quinquiétantes.
Ballotté dhôtels en aéroports, Juan Diego se remémore entre autres la mort de sa mère, femme de ménage chez les jésuites et prostituée à ses heures, « tuée » par une statue géante de la Vierge Marie; son adoption par un couple improbable rencontré dans un cirque, où son destin et celui de sa petite sur extralucide basculent. Marqué par le hasard et linéluctable, ce destin saccomplira peut-être dans une modeste église au fin fond dun quartier pauvre de Manille.
Infirme depuis le jour où une voiture lui a écrasé le pied, Juan Diego a en outre le cur fragile; il prend régulièrement des bêtabloquants, qui le protègent des émotions, et occasionnellement du Viagra, car on ne sait jamais
Des émotions, il en aura tout au long de son périple, notamment avec Miriam et Dorothy, mère et fille aussi désirables quinquiétantes.
Ballotté dhôtels en aéroports, Juan Diego se remémore entre autres la mort de sa mère, femme de ménage chez les jésuites et prostituée à ses heures, « tuée » par une statue géante de la Vierge Marie; son adoption par un couple improbable rencontré dans un cirque, où son destin et celui de sa petite sur extralucide basculent. Marqué par le hasard et linéluctable, ce destin saccomplira peut-être dans une modeste église au fin fond dun quartier pauvre de Manille.
Quelle déception!! Moi qui fais partie des inconditionnelles de Irving, mais il est vrai de ses romans anciens tels que "le monde selon Garp", "l'hôtel New-Hampshire", "une prière pour Owen". J'avais déjà été perdue par ces derniers romans mais un coup de nostalgie m'a incité à acheter celui là en poche..Et bien non, je n'y arrive pas. Je ne m'attache pas aux personnages, rien n'est crédible, bien que j'aime le loufoque de Irving, je n'ai jamais adhéré à son histoire, je n'ai pas ri, ni été bouleversée. C'est toujours triste de sentir qu'on a perdu ce lien privilégié avec un auteur qu'on a adoré...
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