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vendredi 3 juillet 2020

LA VIE MENSONGERE DES ADULTES de Elena FERRANTE

"Deux ans avant qu’il ne quitte la maison, mon père dit à ma mère que j’étais très laide."
Giovanna, fi lle unique d’un couple de professeurs, vit une enfance heureuse dans les hauteurs de Naples. L’année de ses douze ans, elle surprend une conversation dans laquelle son père la compare à Vittoria, une tante à la réputation maléfique. Bouleversée par ce rapprochement aussi dévalorisant qu’inattendu, Giovanna va chercher à en savoir plus sur cette femme. En fouillant l’appartement, elle déniche de rares photos de jeunesse sur lesquelles son père se tient aux côtés d’une personne mystérieusement recouverte de feutre noir. Elle décide alors d’aller à la rencontre de cette Zia Vittoria habitant les quartiers pauvres de Naples. Dans cette partie de la ville qui lui était inconnue, l’adolescente découvre un autre univers social, une façon d’être plus spontanée. Incitée par sa tante à ouvrir les yeux sur les mensonges et les hypocrisies qui régissent la vie de ses parents, elle voit bientôt tout le vernis du monde des adultes se craqueler. Entre grandes espérances et cuisantes désillusions, Giovanna cherche sa voie en explorant les deux visages de la ville, comme deux aspects de son identité qu’elle tente de concilier.

2 commentaires:

  1. J'ai retrouvé le style d'écriture très profond d'Elena Ferrante mais c'est tout. L'histoire ne m'a pas plue et pire : l'héroïne ne m'a pas convaincue. Paragraphe après paragraphe, elle passe de la vulgarité à la naïveté, ce qui ne la rend ni naturelle ni attirante. Comme quoi, il ne suffit pas de savoir écrire pour faire voyager. Il faut savoir aussi et surtout inventer de jolies histoires...
    Qu'on se le dise.
    Clairette

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  2. J'ai retrouvé le style d'Elena, l'ambiance de Naples, j'ai eu de l'empathie pour ces adolescentes en zones troubles, néanmoins cette famille m'a agacée et je n'ai pas été conquise, j'avais hâte d'en finir.

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