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vendredi 27 janvier 2023

LES LIENS ARTIFICIELS de Nathan DEVERS

Alors que Julien s'enlise dans son petit quotidien, il découvre en ligne un monde « miroir » d'une précision diabolique où tout est possible : une seconde chance pour devenir ce qu'il aurait rêvé être... Bienvenue dans l'Antimonde.

12 commentaires:

  1. Je termine ce livre complètement perdue et déstabilisée. J’ai l’impression que mon propre moi vient de vivre une expérience de science fiction complètement dingue alors que je n’ai fait que lire un livre, tranquillement posée dans mon canapé. Un livre particulier face auquel j’ai beaucoup de mal à exprimer mon ressenti.
    Je retiens par contre des éléments marquants comme le partage virtuel de quelques vers/verres avec le Grand Serge Gainsbourg ou un débat fictif Begbeder/Finkielkraut à la Grande Librairie hallucinant et pourtant tellement ´vrai‘. Même le François Busnel du livre m’a agacé autant que celui que je vois dans mon poste de télé.
    Etais-je dans le vrai ?
    Étais-je dans le virtuel ?
    Je ne sais plus.
    Et rien que pour ce questionnement, cela valait la peine de le lire. Merci Nath de nous avoir suggéré ce livre que, je dois l’avouer, je n’aurais jamais lu sans le groupe des Bookolites Anonymes.
    Clairette perdue mais interpellée… vraiment !

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  2. Roman hyper déprimant, j’arrive presque à comprendre le geste du « héros » au début. L’aspect déprimant est multiple : la vie de Julien, le côté pathétique de l’Antimonde et le vide des personnages. L’auteur n’a pas assez insisté sur les possibilités incroyables qu’aurait ce monde parallèle. Il y a des passages dont je n’ai pas compris l’intérêt (Gainsbourg ? Les retrouvailles avec May ? La mort de l’inventeur de l’Antimonde ?...) Contrairement à ce qu’on veut peut-être nous faire croire, ce genre d’histoire n’est pas très original. J’ai déjà lu pas mal de livres sur ce sujet. Enfin le côté « Internet c’est le diable » ça commence à me souler.
    Poulpie

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  3. Je viens de terminer enfin mes devoirs ;-) voici mon commentaire «après un démarrage laborieux ou l’ennuie rendait la lecture difficile je suis arrivée sur le sujet de l’ anti monde . Et là j’ai adoré, j’ai enfin compris ce qu’était le Metaverse, les motivations des personnes à vivre dans un monde virtuel, j’ai compris qu’ils avaient renoncé à vivre dans la réalité souvent trop dure. Ils n’avaient pas trouvé leur place et le monde du virtuel leur en proposait une …cette nouvelle vie leur permettant d’échapper à leur propre existence. Malgré certaines longueurs j’ai beaucoup aimé le sujet. »

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  4. Deux histoires quelconques font rarement un bon roman. Il y a beaucoup dans le genre.
    Ernest

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  5. J'ai oublié "beaucoup mieux" apres il y a :-)
    Ernest

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  6. En fait j'ai oublié que "mieux" en fait ;-)
    Ernest (qui a du mal à dire du mal d'un livre)

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  7. J'ai mis 2 fois "en fait" ... je craque !!!
    Ernest

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  8. Pas grand chose à en dire : je n'ai pas du tout accroché, je ne suis pas rentré dedans. Ça a été une lecture laborieuse et douloureuse que je n'ai meme pas réussi à mener au bout..

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  9. Lorsque j'ai entendu l'interview de Nathan Devers, j'ai eu envie de lire son livre et je l'ai donc proposé. Lecture laborieuse, qq pages le soir, à la fois j'avais envie d'en savoir plus et à la fois j'étais perdue. Mais tt de même, cela laisse entrevoir ce que pourrait être une vie parallèle, irréelle, où tt nous réussit. où on est admiré, reconnu, aimé! Mais n'est-ce pas ce qui se passe déjà dans ces vidéos postées à travers le monde et qui cherchent un like, un j'aime? Je ne peux pas dire que j'ai aimé ce livre mais il e le mérite de poser des questions existentielles intéressantes.

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  10. ou comment mourir deux fois ?

    c'est un peu court, mais je crains ensuite de faire super long car cette lecture m'inspire tellement de pensées
    satire d'une époque où les paradis artificiels sont sur la toile, satire des média et autres réseaux sociaux qui nous abreuvent, nous emprisonnent et nous dévoyent
    satire des puissants économiques qui se prennent pour Dieu
    je trouve que l'auteur a fait preuve de beaucoup de talent pour rendre la lecture passionnante, amusante, horripilante, agaçante, histoire dans laquelle je me suis parfois perdue, prisonnière de fils invisibles et résistants qui font perdre la raison, un peu comme le héros (anti-héros) de l'histoire
    j'ai juste envie de ressentir une joie simple : rencontrer des vraies personnes pour discuter de tout, de rien, loin de toute connexion Internet...

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  11. Lecture laborieuse et déprimante. Paradoxalement, ce livre m'est resté en tête plusieurs jours après l'avoir terminé.

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  12. Il y a des livres qui font du bien et d’autre qui font du mal. Celui-ci rentre dans la 2ème catégorie et j’ai bien failli l’abandonner dès le 1er chapitre qui est plus que violent :-( J’ai persévéré et je m'en félicite, ne serait-ce que pour apprendre comment on peut sombrer dans ces mondes virtuels qui, par définition, vous coupent de la réalité et finissent pas vous détruire.

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