Jamais Cecilia n'aurait dû lire cette lettre trouvée par hasard dans le grenier. Sur l'enveloppe jaunie, quelques mots de la main de son mari : « À n'ouvrir qu'après ma mort ». La curiosité est trop forte, elle l'ouvre et le temps s'arrête... À la fois folle de colère et dévastée par ce qu elle vient d'apprendre, Cecilia ne sait que faire : si elle se tait, la vérité va la ronger, si elle parle, ceux qu elle aime souffriront.
J'ai ouvert ce livre par hasard mais j'ai très vite été captivée. Les thèmes du poids des secrets au sein du couple, du pardon et du deuil sont abordés de manière à la fois tragique et comique.
RépondreSupprimerJe vous conseille aussi vivement le 2ème roman de cet auteure.
Val