Avril 1999. Mount Pleasant, une paisible petite bourgade du New Hampshire, est bouleversée par un meurtre. Le corps d'Alaska Sanders, arrivée depuis peu dans la ville, est retrouvé au bord d'un lac.
L'enquête est rapidement bouclée, puis classée, même si sa conclusion est marquée par un nouvel épisode tragique.
Mais onze ans plus tard, l'affaire rebondit. Début 2010, le sergent Perry Gahalowood, de la police d'État du New Hampshire, persuadé d'avoir élucidé le crime à l'époque, reçoit une lettre anonyme qui le trouble. Et s'il avait suivi une fausse piste ?
Son ami l'écrivain Marcus Goldman, qui vient de remporter un immense succès avec La Vérité sur l'Affaire Harry Quebert, va lui prêter main forte pour découvrir la vérité.
Les fantômes du passé vont resurgir, et parmi eux celui de Harry Quebert.
J'ai ouvert ce livre avec quelque à priori je dois l'avouer. L'affaire Harry Quebert fut un tel succès que le risque était grand pour l'auteur de ne pas être à la hauteur. Joël Dicker ne s'est est pas trop mal sorti. J'ai réussi à être emportée par l'histoire d'Alaska Sanders, par les aller-retours dans le temps, par Marcus et le Sergent, et ce, bien que le style reste toujours le même. L'intrigue ne m'a pas toujours surprise c'est vrai, j'ai même réussi à deviner quelques brigands mais cela n'a rien gâché.
RépondreSupprimerClairette
j'ai voulu tenter encore une fois Joel Dicker meme si ne n'avais pas du tout aimé le roman precedent. Et je suis deçue, mais décue.
RépondreSupprimerTous ses livres sont construits sur le meme modele, on dirait qu'il suit un manuel du parfait romancier... les continuels retours en arrière sont inutiles et pourraient tres bien se resumer en 3 lignes. Et puis il ne peut s'empecher de se mettre en scène , dans la parodie du pauvre ecrivain qui a beaucoup souffert du succès de son premier roman.... bichette !
Et puis le vocabulaire, les tournures de phrases sont nuls aussi.
je ne lirai pas le prochain, c'est dit !
L'intrigue est assez prenante. Par contre de gros bémols : la succession des coupables potentiels. Quand on voit qu'il reste 150 pages ou même 20 ça ne prend pas ! Le livre aurait été délesté des 200 pages sur le passé dont on se fout ("j'aimais beaucoup Tata, son gâteau à la banane etc...), on se serait mieux porté. Harry Quebert par-ci, Harry Quebert par-là, je n'ai pas compris l'intérêt ? Et je n'ai pas compris non plus ce que venait faire l'ours au début ?
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