Le nouveau roman de Mélissa Da Costa nous plonge au coeur de l'intimité d'un couple en miettes et affronte, avec une force inouïe, la réalité de l'amour, du désespoir, et la soif de vivre, malgré les épreuves.
Ce pourrait il que ce soit ça,
Cette bête noire qui remue dans ma poitrine,
Piétine, déchire, ronge tout autour d'elle,
Avec la férocité d'une hyène,
Ne me laissant qu'un trou béant dans le cœur
Et une sécheresse dans la gorge ?
La culpabilité.....
Se pourrait il que ce soit ça,
Aimer malgré soi ?
Aimer mal
Aimer sans savoir pourquoi
Aimer .....
C'est un joli livre pour passer un bon moment de lecture mais je pense que je l'oublierais très vite. Les sentiments sont bien décrits et j'ai appris sur la paraplégie. On voit très vite venir la fin. Pour moi, il n'est pas à la hauteur de "Tout le bleu du ciel"
RépondreSupprimerJ'ai un problème. J'ai un problème non pas avec ce livre mais avec les personnages que je trouve vulgaires et énervants (même si j'ai fini en larmes).
RépondreSupprimerFrançois, le bel acteur parisien à qui tout réussi et puis Eléonore, sa groupie de 20 ans de moins. Personnages clichés. Personnages détestés. Et puis un jour tout s'écroule entre un scooter et un camion. Des vies explosent et vont mettre du temps à se reconstruire. C'est violent, c'est douloureux, c'est cru, c'est vulgaire et seul un petit coin de Bourgogne va réussir à adoucir l'ensemble. Trop l'adoucir peut-être... On est la limite du mièvre.
Mélissa n'a pas mis le curseur au bon endroit dans son récit mise à part quand elle parle de paraplégie et de ses conséquences sur les patients comme François.
Elsa, l'infirmière semble exagérée dans son rôle d'infirmière.
Isabelle l'ex femme semble exagérée dans son rôle d'ex femme.
Ryan, le pote semble exagéré dans son rôle de pote.
Madeleine, la grand mère semble exagérée dans son rôle de grand mère..
Bref, vous m'avez comprise.
Clairette