Libellés

RECHERCHE PAR TITRE OU PAR AUTEUR :

dimanche 17 avril 2016

MISHENKA de Daniel TAMMET


Moscou, mars 1960.
En Union soviétique, les échecs sont un sport national et le champion du monde, Maxim Koroguine, est le héros du régime. Avec lui, le jeu d’échecs est devenu une science de la logique. Surgit alors un jeune prodige de 23 ans, Mikhail Gelb, surnommé Mishenka, romantique et imprévisible. Pour Mishenka, les échecs sont un langage, une forme de poésie. On dit de lui qu’« il pense avec ses mains ».

1 commentaire:

  1. Etant fan d’echecs je suis resté sur ma faim … aucune surprise au niveau de l’histoire et même l’approche psycho du combat entre les deux grand-maitres n’a rien de bien surprenant … le génie de Tammet s’est égaré sur les 64 cases de l’échiquier :o)
    Ernest

    RépondreSupprimer

3, 2, 1.. Commentez !