L'Allemagne nazie a sa légende. On y voit une armée rapide, moderne, dont le triomphe parait inexorable. Mais si au fondement de ses premiers exploits se découvraient plutôt des marchandages, de vulgaires combinaisons d'intérêts ? Et si les glorieuses images de la Wehrmacht entrant triomphalement en Autriche dissimulaient un immense embouteillage de panzers ? Une simple panne ! Une démonstration magistrale et grinçante des coulisses de l'Anschluss par l'auteur de «Tristesse de la terre» et de «14 juillet».
Si la qualité du Goncourt 2017 est basée sur l'écriture alors il a parfaitement bien été attribué...
RépondreSupprimerPour le reste, j'ai des doutes.
Clairette
De la belle écriture mais sur le même thème je préfère, et de loin, Matin brun de Franck Pavloff.
RépondreSupprimerErnest
Qualité d'écriture effectivement irréprochable. Le genre de roman qui fait réfléchir sur l'histoire avec un grand H et ses puissants qui le restent malgré leur compromission pendant la seconde guerre mondiale.
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