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lundi 21 octobre 2019

IL FAUT QU'ON PARLE DE KEVIN de Lionel SHRIVER


À la veille de ses seize ans, Kevin Khatchadourian exécute neuf personnes dans son lycée. A travers des lettres au père dont elle est séparée, sa mère retrace l’itinéraire meurtrier de leur fils. Un roman coup-de-poing, violent, complexe, qui s’attaque aux pires des tabous.

3 commentaires:

  1. Je crois que je suis passée à côté de ce récit dont le résumé était pourtant alléchant. J'ai écouté une mère s'exprimer sur un sujet grave et au quart du livre je n'ai toujours rien ressenti.
    Je déteste ne rien ressentir.
    Clairette

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  2. comme quoi c'est la différence qui fait la richesse de ce monde...alors moi j'ai été emportée, subjuguée, j'ai souffert, j'ai haï, j'ai aimé, j'ai détesté à la fois ce Kevin et cette mère et à la fin épuisée, marquée à jamais, dévastée, j'ai compris ce que pouvait éprouver et vivre cette maman.... un récit bouleversant qui me secoue encore

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  3. Dommage qu'il y ait des longueurs! D'un côté, je me suis mise à la place de la mère. Comment Est-ce que je réagirais ? Quelle est la part de responsabilité d'une mère "non aimante" et de l'aveuglement d'un père? Comment un "monstre" peut-il grandir dans une famille "normale"? Ce livre fait peur car il donne l'impression que ça peut arriver à n'importe qui d'entre nous..

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