"Finalement, il vous dit quelque chose, notre homme ? Nous arrivions à hauteur de Gonfreville-l'Orcher, la raffinerie sortait de terre, indéchiffrable et nébuleuse, façon Gotham City, une autre ville derrière la ville, j'ai baissé ma vitre et inhalé longuement, le nez orienté vers les tours de distillation, vers ce Meccano démentiel. L'étrange puanteur s'engouffrait dans la voiture, mélange d'hydrocarbures, de sel et de poudre. Il m'a intimé de refermer, avant de m'interroger de nouveau, pourquoi avais-je finalement demandé à voir le corps ? C'est que vous y avez repensé, c'est que quelque chose a dû vous revenir. Oui, j'y avais repensé. Qu'est-ce qu'il s'imaginait. Je n'avais pratiquement fait que penser à ça depuis ce matin, mais y penser avait fini par prendre la forme d'une ville, d'un premier amour, la forme d'un porte-conteneurs."
J’ai trouvé ce livre décevant : les phrases sont trop longues, l’intrigue manque de suspense, et certains passages m’ont paru inutiles. Seules les descriptions du Havre m’ont un peu intéressée.
J’ai tenu jusqu’à la moitié du livre et j’ai craqué ! Des phrases longues, alambiquées et qui partent dans toutes les directions. L’horreur. Je ne sais même pas qui est le mort et pourquoi il a un lien avec l’héroïne. Et vous savez quoi ? Je m’en fiche au fond. Clairette
J’ai trouvé ce livre décevant : les phrases sont trop longues, l’intrigue manque de suspense, et certains passages m’ont paru inutiles. Seules les descriptions du Havre m’ont un peu intéressée.
RépondreSupprimerJ’ai tenu jusqu’à la moitié du livre et j’ai craqué ! Des phrases longues, alambiquées et qui partent dans toutes les directions. L’horreur. Je ne sais même pas qui est le mort et pourquoi il a un lien avec l’héroïne. Et vous savez quoi ? Je m’en fiche au fond.
RépondreSupprimerClairette