Tout commence par quelques mots griffonnés au dos d'une carte postale : "Je pense à vous, je vous aime." Ils sont signés de Charles, le père d'Antoine, parti vingt ans plus tôt sans laisser d'adresse. Avec son meilleur ami, Laurent, apprenti journaliste, et Anna, sa jeune soeur complètement déjantée, Antoine part sur les traces de ce père fantôme. C'est l'affaire d'une semaine, pense-t-il... De l'ex-Allemagne de l'Est à la Turquie d'Atatürk, de la Géorgie de Staline à l'Autriche nazie, de rebondissements en coups de théâtre, les voici partis pour un road movie généalogique et chaotique à la recherche de leurs origines insoupçonnées.
L’important, ce n’est pas la destination, c’est le voyage. OK, mais quelle frustration ce livre! Beaucoup de questions, peu de réponses. Beaucoup de détours et de digressions. "Long" plutôt que "loin". Je crois que j'aurais préféré vivre cette aventure au cinéma plutôt que dans un livre.
Oh oui Loin, ce roman nous emmène loin, très loin dans le passé et dans le monde, loin de notre réalité, de nos tracasseries quotidiennes et ça fait du bien. Le lecteur traverse époques, histoires, cultures et régions du monde à un rythme effréné, parfois tourbillonant jusqu'à en perdre la raison et le raisonnement à la poursuite d'un Charles qu'on aimerait rencontrer, connaître et questionner. Il y a parfois des invraisemblances ou des miracles, mais cela ne nuit ni à l'épopée rocambolesque ni au fantastique voyage que nous offre cette lecture ! Loin aussi du personnage qu'incarne Antoine au début de cette quête qui le transforme radicalement. Idéal pour déconnecter.
Loin : un titre plutôt bien trouvé finalement. Reste loin de moi. Pars loin et ne reviens pas ! Je plaisante à moitié. Je ne suis pas conquise par ce récit. Je suis d’accord avec Poulpie, c’est long plutôt que loin. L’histoire est un peu tordue, forcée. Et puis alors cette Jennifer, elle m’agace… Clairette
En lisant Loin d’Alexis Michalik, je me suis plongée dans un road trip familial à la fois émouvant et captivant. À travers la quête d’Antoine pour retrouver son père, j’ai voyagé à travers plusieurs destinations. Même si certaines situations paraissent invraisemblables, cela ne m’a pas dérangée, car j’ai passé un excellent moment d’évasion.
Oui, long, trop long, trop invraisemblable, et tt ça pour ça. Au début, je me suis accrochée, et puis j'ai été fatiguée de ttes ces destinations, ces quêtes imprécises. Bref, je n'ai pas aimé!
J'ai été un peu surprise par le style d'Alexis Michalik au début. Je me suis d'abord dit que son style un peu théâtral (c'est quand même là qu'il excelle) ne conviendrait pas pour un roman et de fil en aiguille je me suis laissé emporter par cette course effrénée, quelque peu improbable je vous l'accorde mais assez plaisante. J'avais envie de savoir, même si je me doutais que ce serait trop facile que ce père réapparaisse ... Là n'était pas l'essentiel en fait, mais plutôt la quête de soi et on peut dire que ces 3 jeunes se sont trouvés à la fin de ce périple.
L’important, ce n’est pas la destination, c’est le voyage.
RépondreSupprimerOK, mais quelle frustration ce livre! Beaucoup de questions, peu de réponses.
Beaucoup de détours et de digressions. "Long" plutôt que "loin". Je crois que j'aurais préféré vivre cette aventure au cinéma plutôt que dans un livre.
RépondreSupprimerOh oui Loin, ce roman nous emmène loin, très loin dans le passé et dans le monde, loin de notre réalité, de nos tracasseries quotidiennes et ça fait du bien.
Le lecteur traverse époques, histoires, cultures et régions du monde à un rythme effréné, parfois tourbillonant jusqu'à en perdre la raison et le raisonnement à la poursuite d'un Charles qu'on aimerait rencontrer, connaître et questionner. Il y a parfois des invraisemblances ou des miracles, mais cela ne nuit ni à l'épopée rocambolesque ni au fantastique voyage que nous offre cette lecture !
Loin aussi du personnage qu'incarne Antoine au début de cette quête qui le transforme radicalement.
Idéal pour déconnecter.
Loin : un titre plutôt bien trouvé finalement. Reste loin de moi. Pars loin et ne reviens pas ! Je plaisante à moitié. Je ne suis pas conquise par ce récit. Je suis d’accord avec Poulpie, c’est long plutôt que loin. L’histoire est un peu tordue, forcée. Et puis alors cette Jennifer, elle m’agace…
RépondreSupprimerClairette
En lisant Loin d’Alexis Michalik, je me suis plongée dans un road trip familial à la fois émouvant et captivant. À travers la quête d’Antoine pour retrouver son père, j’ai voyagé à travers plusieurs destinations. Même si certaines situations paraissent invraisemblables, cela ne m’a pas dérangée, car j’ai passé un excellent moment d’évasion.
RépondreSupprimerOui, long, trop long, trop invraisemblable, et tt ça pour ça. Au début, je me suis accrochée, et puis j'ai été fatiguée de ttes ces destinations, ces quêtes imprécises. Bref, je n'ai pas aimé!
RépondreSupprimerJ'ai été un peu surprise par le style d'Alexis Michalik au début. Je me suis d'abord dit que son style un peu théâtral (c'est quand même là qu'il excelle) ne conviendrait pas pour un roman et de fil en aiguille je me suis laissé emporter par cette course effrénée, quelque peu improbable je vous l'accorde mais assez plaisante. J'avais envie de savoir, même si je me doutais que ce serait trop facile que ce père réapparaisse ... Là n'était pas l'essentiel en fait, mais plutôt la quête de soi et on peut dire que ces 3 jeunes se sont trouvés à la fin de ce périple.
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