Un homme, tel un spectre, soliloque dans un bar. Il est le frère de lArabe tué par Meursault dans LÉtranger, le fameux roman dAlbert Camus. Il entend relater sa propre version des faits, raconter lenvers du décor, rendre son nom à son frère et donner chair à cette figure niée de la littérature: l« Arabe ».
Iconoclaste, le narrateur est peu sympathique, beau parleur et vaguement affabulateur. Il sempêtre dans son récit, délire, ressasse rageusement ses souvenirs, maudit sa mère, peste contre lAlgérie il népargne personne. Mais, en vérité, sa seule obsession est que lArabe soit reconnu, enfin.
Iconoclaste, le narrateur est peu sympathique, beau parleur et vaguement affabulateur. Il sempêtre dans son récit, délire, ressasse rageusement ses souvenirs, maudit sa mère, peste contre lAlgérie il népargne personne. Mais, en vérité, sa seule obsession est que lArabe soit reconnu, enfin.
Ce livre est d'une intelligence rare ...
RépondreSupprimerErnest
Lorsque je l'ai lu, j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire et même à le finir ; il s'agit pourtant d'un roman court et bien écrit. J'aurais peut-être dû relire L'Etranger avant. J'essaierai de m'y replonger plus tard...
RépondreSupprimerJe n'ai pas réussi à rentrer dedans, je n'aime pas du tout ce style d'écriture, dommage...
RépondreSupprimerJ'ai relu l'étranger avant et toute la puissance de cette suite a pu se révéler. J'ai beaucoup aimé son style aiguisé et précis sur le thème de l'identité et de l'héritage.
RépondreSupprimer