«Lina n’était jamais vraiment là. Tout se passait dans son regard. J’en connaissais les nuances, les reflets, les défaites. Une ombre passait dans ses yeux, une ombre dure qui fanait son visage. Elle était là mais elle était loin. Je ne comprenais pas ces sautes d’humeur, ces sautes d’amour.»
Un dimanche de décembre, une femme livre à ses trois fils le secret qui l’étouffe. En révélant une souffrance insoupçonnée, cette mère niée par les siens depuis l’adolescence se révèle dans toute son humanité et son obstination à vivre libre, bien qu’à jamais blessée.
Ce livre est une quête identitaire. Je n'ai rien contre le sujet mais pourquoi faut-il trop souvent que ce soit ennuyant ?
RépondreSupprimerLes 100 premières pages m'ont plutôt plues et puis tout est devenu mou, insipide et sans intérêt.
Eric, ton livre est un peu trop soporifique à mon goût !
Clairette