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lundi 3 octobre 2016

LE DERNIER JOUR DE NOS PERES de Joël DICKER


Londres, 1940. Soucieux de pallier l’anéantissement de l’armée britannique à Dunkerque, Winston Churchill a une idée qui va changer le cours de la guerre: créer une branche noire des services secrets, le Special Operation Executive (SOE), chargée de mener des actions de sabotage et de renseignement à l’intérieur des lignes ennemies et dont les membres seraient issus des populations locales pour être insoupçonnables. Du jamais vu jusqu’alors.
Quelques mois plus tard, le jeune Paul-Émile quitte Paris pour Londres dans l’espoir de rejoindre la Résistance. Rapidement recruté par le SOE, il est intégré à un groupe de Français qui deviendront ses compagnons de cœur et d’armes. Entraînés et formés de façon intense aux quatre coins de l’Angleterre, ceux qui passeront la sélection se verront bientôt renvoyés en France occupée pour contribuer à la formation des réseaux de résistance. Mais sur le continent, le contre-espionnage allemand est en état d’alerte…
L’existence même du SOE a été longtemps tenue secrète. Soixante-cinq ans après les faits, Les Derniers Jours de nos pères est un des premiers romans à en évoquer la création et à revenir sur les véritables relations entre la Résistance et l’Angleterre de Churchill.

2 commentaires:

  1. Comme souvent dans ce type de roman, nous découvrons une "petite" histoire dans la "grande" Histoire de notre civilisation : la "grande" histoire (méconnue pour ma part) de ces français engagés dans les services secrets britanniques durant la seconde guerre mondiale et la "petite" histoire d'un groupe d'une dizaine de volontaires, qui deviennent au fil de leur formation des frères les uns pour les autres malgré leurs différences. La guerre et ses horreurs ne les épargnera pas et nous sommes les spectateurs de leurs évolutions individuelles. Comme pour "La vérité sur l'affaire Harry Quebert", l'écriture manque un peu de hauteur mais les personnages attachants et leur rôle dans le dénouement de la libération de la France en font tout de même un livre plaisant, sans plus.

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  2. Je partage l'avis de Sylvain, et c'est bien là, la magie de la littérature, apprendre l'histoire à travers un roman!! Un livre plaisant oui!

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