Jadis, il était toujours pressé, il régnait sur le monde de la culture et il se sentait invincible. Aujourd'hui, à la retraite, c'est plus calme : les défaillances du corps, les anxiétés de l'âme, la peur de perdre ses vieux amis qui forment une bande de joyeux octogénaires. Une autre vie commence. Avec le plaisir de pouvoir enfin prendre son temps et le perdre.
J'adore le style et l'écriture de Monsieur Pivot, désuets parfois. L'apprentissage de la vieillesse n'est pas aisé, et même souvent douloureux. La bande des JOP est touchante, toutefois il manque à Monsieur Pivot un talent de conteur.
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