Un prologue nous apprend que c'est en 1818 que le récit qui nous est présenté a été trouvé dans l'antre - découverte - de la Sybille de Cumes. Cette contradiction (le narrateur nous parle depuis le XXII° siècle) trouve sans doute résolution si l'on considère que ce récit de fin du monde est une prophétie Sibylline (rien n'est clairement posé à ce propos), bien différente cependant de celle que rapporte Virgile :Le dernier âge viendra, que la Sibylle chantait :
Cycle nouveau-né des ans écoulés, cycle parfait.
La Justice reviendra sur la terre avec la Loi
Et le dieu Saturne. Du ciel sacré vois sans effroi
Une race nouvelle.
Quelle déception !!! J'ai couru après ce livre pendant des années, et enfin je l'ai entre mes mains tremblantes. 660 pages de bonheur m'ecriais-je en transe sur mon lit ... Que nenni ! C'est long, long, long ... d'un romantisme plus que désuet ... j'en suis presque arrivé à aimer la peste qui mettait un terme à mon calvaire de lecture. Pour vous éviter la même souffrance cher(e)s lecteur(e)s je vous offre la fin en pâture ;-) : le personnage principal finit seul d'où le titre :-)))
RépondreSupprimerErnest