Sur les pages suivantes, il y avait des poèmes. Voilà ce qu’on avait retrouvé sur Vasco : le revolver, un cahier noirci d’une vingtaine de poèmes et, plus tard, après expertise balistique, des résidus de poudre sur ses mains.
Voilà ce qu’il en restait, j’ai pensé, de son histoire d’amour. »
Très joli roman sur l’amour. Il m’a fait penser à mon cher ”Diane Lanster” qui fut,est et sera toujours ma préférence !
RépondreSupprimerErnest