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jeudi 2 août 2018

L'ETRANGER de CAMUS

Condamné à mort, Meursault. Sur une plage algérienne, il a tué un Arabe. À cause du soleil, dira-t-il, parce qu'il faisait chaud. On n'en tirera rien d'autre. Rien ne le fera plus réagir : ni l'annonce de sa condamnation, ni la mort de sa mère, ni les paroles du prêtre avant la fin.
Comme si, sur cette plage, il avait soudain eu la révélation de l'universelle équivalence du tout et du rien.
La conscience de n'être sur la terre qu'en sursis, d'une mort qui, quoi qu'il arrive, arrivera, sans espoir de salut. Et comment être autre chose qu'indifférent à tout après ça ?

3 commentaires:

  1. Je suis persuadée d'avoir lu ce grand classique quand j'étais au Lycée mais le résumé ne me dit rien du tout. Je vais donc devoir le (re)lire.
    Claire

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  2. Je l'ai relu avant de lire "Meursault contre-enquête". J'en gardais des souvenirs flous mais peu à peu j'ai retrouvé et reconnu ce personnage que rien ne semble toucher, mobiliser et qu'on a envie de secouer! Très beau roman sur l’indifférence.

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  3. Je suis tombée sur ce livre pour le bac de français, super beau livre. Une belle histoire. Beaucoup aimé !!

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3, 2, 1.. Commentez !