Libellés

RECHERCHE PAR TITRE OU PAR AUTEUR :

jeudi 14 janvier 2021

CES ORAGES-LA de Sandrine COLLETTE

Clémence a trente ans lorsque, mue par l’énergie du désespoir, elle parvient à s’extraire d’une relation toxique. Trois ans pendant lesquels elle a couru après l’amour vrai, trois ans pendant lesquels elle n’a cessé de s’éteindre. Aujourd’hui, elle vit recluse, sans amis, sans famille, sans travail, dans une petite maison fissurée dont le jardin s’apparente à une jungle. Comment faire pour ne pas tomber et résister minute après minute à la tentation de faire marche arrière ?

4 commentaires:

  1. Sandrine Collette me déçoit pour la première fois et cela me fait beaucoup de mal. Bilan : 2 tout petits trèfles pour CES ORAGES-LA qui décortique jusqu'à l'os l'enfermement psychologique dans lequel se trouve l'héroïne Clémence suite à sa rupture avec Thomas avec qui elle a entretenue une relation conjugale toxique pendant trois années. Même si j’ai ressenti son mal-être dans mes propres veines, l'ennui m’a gagné beaucoup trop vite et j’ai eu l’impression de tourner en rond de la première à la dernière page. Pas bien.
    Clairette

    RépondreSupprimer
  2. desolée, je n'ai pas réussi a entrer dans le livre. Que manquait-il, qu'y avait-il en trop ? Pourquoi Clémence m'etait elle presque antipathique des le debut ? Et du coup tout sonnait faux...
    Pourtant, le sujet aurait pu faire un sacré bouquin. C'est raté ! je n'en veux pas à Sandrine Collette, elle est encore très haut sur l'echelle des tres bons bouquins, mais pas là !

    RépondreSupprimer
  3. le 1er de Sandrine Collette que je lis (oui, je sais je pars de loin ;-) )... j'ai eu du mal à accrocher. Elle s'est peut être un peu trop attardée sur les ressentis de Clémence... et pas assez "d'actions" et/ou rebondissements...

    RépondreSupprimer
  4. Je n'ai pas été touchée par les violences subies par Clémence. Le roman est trop plat. Les personnages sont mornes, l'idée du voisin sauveur est à la limite de la niaiserie. Et la fin est prévisible.

    RépondreSupprimer

3, 2, 1.. Commentez !