Livre à lire de toute urgence. Pour la révélation de l'indicible mais pas que, loin s'en faut. Lecteur, fait fi de tout ce qui a été dit, lis et fais toi ton opinion. Moi c'est fait. Ernest
Je suis déçue de ce livre, dans le sens où il m'a semblé avoir déjà lu l'essentiel dans les media. L'ambiance dans cette famille est très bizarre. Ce qui m'a fait mal (excepté l'inceste évidemment) c'est la folie d'une mère, ce qui m'a beaucoup ému, c'est l'amour d'une sœur pour son frère.
Merci à Camille Kouchner d'avoir pris la parole pour dénoncer cette sordide histoire d'inceste sur son frère jumeau, qui devient l'histoire d'une famille, éclatée, déchirée, en danger et dangereuse. Le vernis etait pourtant si beau.... Cela m'a fait penser au roman Les Impatientes, où certains pourraient tenter d'excuser les faits par le poids de la culture, des traditions (avis que je ne partage pas du tout. Mais là, qui pourrait s'arroger le droit de trouver des excuses ? personne !
J'ai manqué d'air tout le long du récit, comme Camille. Quelle écriture gracieuse et douce pour décrire la violence ! je ferme le livre et j'ai une sorte de dé-goût dans la bouche : je n'arrive pas à comprendre Evelyne et l'abandon de cette mère me fait très mal. En tout cas, une réforme est en cours : merci Camille.
Livre à lire de toute urgence. Pour la révélation de l'indicible mais pas que, loin s'en faut. Lecteur, fait fi de tout ce qui a été dit, lis et fais toi ton opinion. Moi c'est fait.
RépondreSupprimerErnest
Je suis déçue de ce livre, dans le sens où il m'a semblé avoir déjà lu l'essentiel dans les media. L'ambiance dans cette famille est très bizarre. Ce qui m'a fait mal (excepté l'inceste évidemment) c'est la folie d'une mère, ce qui m'a beaucoup ému, c'est l'amour d'une sœur pour son frère.
RépondreSupprimerMerci à Camille Kouchner d'avoir pris la parole pour dénoncer cette sordide histoire d'inceste sur son frère jumeau, qui devient l'histoire d'une famille, éclatée, déchirée, en danger et dangereuse. Le vernis etait pourtant si beau.... Cela m'a fait penser au roman Les Impatientes, où certains pourraient tenter d'excuser les faits
RépondreSupprimerpar le poids de la culture, des traditions (avis que je ne partage pas du tout. Mais là, qui pourrait s'arroger le droit de trouver des excuses ? personne !
J'ai manqué d'air tout le long du récit, comme Camille. Quelle écriture gracieuse et douce pour décrire la violence ! je ferme le livre et j'ai une sorte de dé-goût dans la bouche : je n'arrive pas à comprendre Evelyne et l'abandon de cette mère me fait très mal. En tout cas, une réforme est en cours : merci Camille.
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